Roulé de homard, navet et fleurs sauvages
Le homard est un crustacé noble, très souvent de sorti les jours de fêtes. Pour l’occasion, il s’habille ici d’une touche asiatique avec le navet daïkon. Et c’est réussi, raffinement, douceur, croquant, tout est là pour régaler vos convives. Un Chablis Grand Cru Blanchot se révèle être un partenaire idéal pour ce plat grâce à sa subtilité et sa complexité aromatique.
Conseil du sommelier
Chablis Grand Cru Blanchot d’un millésime ancien
La chair du homard est un met des plus raffinés avec des saveurs délicates rappelant la noisette et une texture ferme. Le daïkon a des saveurs moelleuses et légèrement sucrées. Il faudra rechercher ici un accord de puissance. La texture charnue et ferme de la chair du homard réclame un vin avec du volume et de la fraîcheur. Un Chablis Grand Cru, avec une acidité salivante et des arômes murs, s’impose. Un Chablis Grand Cru Blanchot, d’une belle acidité, relèvera les saveurs moelleuses et sucrées du daïkon. Il se montrera suffisamment puissant et élégant pour rivaliser avec le raffinement du homard.
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